Eric Verrecchia est biogéochimiste. Il a été professeur ordinaire à l’Université de Neuchâtel, puis de Lausanne avant de prendre une retraite anticipée, en partie à cause de ce qu’il considère comme une trahison des clercs académiques sur le sujet du réchauffement climatique. Muni d’une double formation de géographe et de géologue, cet ancien chercheur au CNRS regrette le catastrophisme ambiant et considère le changement climatique comme une opportunité plutôt que comme une menace. Interview à contre-courant.
«On risque de voir arriver des confinements climatiques»
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