La polarisation des idées depuis le début de la crise sanitaire concerne tous les milieux, y compris – ou plutôt surtout – celui de la santé. Les médecins ne sont plus jugés sur leurs compétences, leur palmarès ou leur réputation, mais sur leur propension à suivre, ou non, le narratif officiel. C’est désormais sur cette base que l’on distribue les bonnes ou les mauvaises notes, que l’on établit la crédibilité des uns et des autres et que l’on décide qui aura voix au chapitre. L’heure n’est plus au consensus scientifique, ni même à la discussion. Une défaite du débat particulièrement inquiétante dans un domaine censé se nourrir du doute et des hypothèses. L’Impertinent a recueilli le témoignage de médecins qui ne sont globalement pas d’accord avec la gestion de cette crise, mais qui n’osent pas toujours le dire.
Le milieu de la santé et la loi du silence
Dernière mise à jour : 29 mars
Vous souhaitez en lire plus ?
Abonnez-vous à limpertinentmedia.com pour continuer à lire ce post exclusif.